Ce type de créance est représentatif d'une dette. Qui l'eut cru ? Pour faire simple, c'est comme un prêt bancaire, sauf que le créancier, c'est vous !
Obligations obligent, l'entreprise vous verse des intérêts, et rembourse le capital initial à échéance définie.
Les obligations, ce n’est pas si compliqué : vous pouvez même
estimer le rendement avant d'investir. Avec Tudigo, par exemple, tout est défini à l'avance. Pratique, n'est-ce pas ?
Les
intérêts sont payés à
échéances fixes et calculées selon un taux d'intérêt défini.
Le capital, lui, est remboursé tous les ans d'un montant identique. Conclusion, les intérêts diminuent tous les ans proportionnellement au capital.
Exception cependant : les
obligations "in fine". Ici, la totalité du capital est remboursée à la dernière échéance. Encore moins de maths pour vous !
Imaginons que vous investissez
2 000 € dans une obligation, avec un rendement annuel 11 % sur 24 mois, et un remboursement in fine pour maximiser les intérêts :
Chaque année, vous récupérez 11 % de 2 000 en intérêts, soit 220 €.
Une fois l’obligation arrivée à son terme, et le remboursement total effectué, vous vous retrouvez avec
2 440 €.
Bon, là, j’ai pris des chiffres ronds, donc c’est facile, mais mieux vaut s’armer d’une calculatrice pour ce genre d’estimation !
Attention : si un investissement en obligations peut paraître plus “secure” qu’un investissement en actions, il y a tout de même des risques !
L’entreprise peut très bien faire faillite, et ne pas être en mesure de vous rembourser par exemple.